Cette année encore, nous avons eu la joie de retrouver Matthew Thie, livré directement dans le Sud-Ouest par les bons soins d’Alfred Manuel. Tout pile un mois après la célébration des 40 ans du Touch for Health à Malibu, nous voilà avec le fils de son inventeur à observer sa pratique. En effet, imbibé depuis son plus jeune âge par le travail et les recherches de son père John Thie, Matthew incarne ces idées, ces pratiques dans toutes leurs dimensions. C’est justement pour cela qu’il est fondamental de le voir travailler, afin de saisir une nouvelle fois comment le Touch for Health peut se mettre en pratique, et comment il y procède lui-même. C’est donc ce que nous avons fait, veinards que nous sommes, il est venu nous le raconter ici. Et, de fait, il faut bien admettre… on peut lire toute une bibliothèque sur l’établissement d’un objectif de séance, l’écoute, la reformulation, rien de tel que de le voir procéder à un entretien, un équilibrage avec ses propres outils, le Touch for Health dans son expression la plus simple et la plus essentielle à la fois.
Moralité holistique de l’affaire / à quoi sert le Touch for Health : il vaut mieux une passoire à 90 cents pour éviter de boucher ton évier, qu’un plombier qui te facture 100 $ pour réinitialiser ton broyeur (dixit Matthew Thie).
À méditer…
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