Tu stresses pas trop pour tes exams ? Tu arrives à te concentrer, à apprendre ? Ou bien c’est la rame des grand jours ? Si ce chapelet de questions a le don de vous mettre la rate au court-bouillon, il est peut-être temps d’envisager un changement de stratégie. En effet, que l’on soit en formation initiale, au primaire, au secondaire, à l’université ou en reconversion, il est fondamental de penser que nos capacités d’apprentissage sont un sujet de progression comme un autre. La kinésiologie propose des outils adaptés pour se débarrasser du stress avant d’aller plancher. Il n’y a pas de fatalité là-dedans. En explorant ce qui nous met en inconfort dans l’étude, nous nous donnons une chance de les dépasser. Mais comment cela est-il possible ?
Une branche de la kinésiologie s’occupe même exclusivement de ces sujets, il s’agit de l’Éducation Kinesthésique, vous pouvez aussi trouver l’appellation Brain Gym. Comme tout ce que nous faisons dans la vie, les études, les examens nous impliquent en totalité, avec nos forces, nos fragilités et notre histoire. On peut faciliter les apprentissages, qu’ils soient intellectuels, physiques, manuels, techniques, et quel que soit l’âge du sujet, et cherchant les stress liés au fait d’apprendre. De cette manière, on peut agir pour s’assurer de meilleures chance de réussite, car tout ce qui est entrepris sans stress est déjà délivré d’une grande charge.
Nous savons que les stress vécus par une personne fonctionnent comme un polaroïd du moment exact où il a eu lieu. Aussi, dans le cas où un stress est venu perturber un apprentissage, il se peut que le corps conserve la mémoire de ce stress lié à une matière spécifique. Ainsi, grâce au test musculaire utilisé en kinésiologie, nous pouvons démonter l’écheveau et relâcher tout le système. Il n’est pas rare de rencontrer des peurs de s’exprimer en public, ou des peurs du jugement qui ont des racines, entre autres, dans des auditions musicales ou des compétitions sportives mal vécues dans l’enfance. De même un événement de vie, même s’il n’est pas lié directement à l’apprentissage, mais concomitant, peut influer sur la manière dont on va ensuite adhérer ou non à un enseignement.
Les profils d’organisation cérébrale permettent aussi de découvrir quels sont les moyens préférés du cerveau pour apprendre une chose : est-ce le son, le mouvement, l’écrit, la répétition, le global, le détail, le visuel ? Connaître ses préférences donne la possibilité de gagner un temps précieux et de s’appuyer sur des aptitudes spontanées de l’organisme pour qu’apprendre redevienne un plaisir et retrouver de la fluidité dans les moments d’évaluation. En effet, ce n’est pas la peine de demander à un auditif de colorier ses cours, pas plus que faire répéter un visuel. Alors si un de ces sujets vous concerne, vous pouvez en discuter avec vos kinésiologues préféré-e-s, qui auront très certainement quelque chose à proposer pour amoindrir ces souffrances. À noter aussi que ces méthodes sont très utiles pour soulager les différentes formes de dys-.
- Difficultés d’apprentissage
- Concentration
- Organisation
- Complexes, dévalorisation
- Aversion pour une matière spécifique (maths, sport…)
- Souvenirs d’échec passés (personnels, familiaux, transgénérationnels…)
- Phobie scolaire
- Pensée globale / pensée du détail
- Mémoire visuelle / auditive / kinesthésique
- Blocage de l’écrit
- Blocage à l’oral
- Pression interne, pression du milieu (niveaux d’études dans la famille, la fratrie…)
- Se donner la possibilité de réussir / quel est le bénéfice à échouer
- Organisations cérébrales particulières : dyslexie, dyscalculie…