Archives par étiquette : Frédérique Joucla

On réimprime !

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Pas loin d’avoir épuisé le stock des 2000 exemplaires sortis de presse au printemps 2017, nous voilà en train de finaliser la réimpression de La kinésiologie, une réponse à vos troubles émotionnels et psychologiques, Éditions Grancher, pour cette fin d’année !

Il y en aura pour tout le monde !

Rendez-vous en page 2 pour savoir de quelle fournée provient le vôtre !

Un article dans Femme Actuelle : la kinésiologie pour en finir avec la fatigue.

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Un nouveau dossier de Sophie Pensa, dans Femme Actuelle daté du 18 juin 2018, sur les différentes manières d’aborder la fatigue, et comment s’en défaire intelligemment et durablement. Un focus sur la kinésiologie et la fatigue du méridien Rein, qui selon le trop plein ou le trop peu d’énergie, peut nous faire basculer du trop mou au trop speed et inversement.

La kinésiologie sert aussi à ça, et c’est bien de le rappeler ou le faire savoir !

Alors ces études ?

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Tu stresses pas trop pour tes exams ? Tu arrives à te concentrer, à apprendre ? Ou bien c’est la rame des grand jours ? Si ce chapelet de questions a le don de vous mettre la rate au court-bouillon, il est peut-être temps d’envisager un changement de stratégie. En effet, que l’on soit en formation initiale, au primaire, au secondaire, à l’université ou en reconversion, il est fondamental de penser que nos capacités d’apprentissage sont un sujet de progression comme un autre. La kinésiologie propose des outils adaptés pour se débarrasser du stress avant d’aller plancher. Il n’y a pas de fatalité là-dedans. En explorant ce qui nous met en inconfort dans l’étude, nous nous donnons une chance de les dépasser. Mais comment cela est-il possible ?

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Kinésiologie au féminin.

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Ce sont les demandes qui forgent ma pratique, aussi à force de recevoir des femmes avec des démarches relevant spécifiquement de l’histoire, du vécu ou de l’anatomie féminines, j’ai décidé de me former plus en détail. Devant le peu de sources et de formations spécialisées, j’aborde cela de manière plutôt expérimentale. J’ai constaté que les stress vécus qui viennent meurtrir la féminité ont tendance à contracter, en plus des circuits connus, l’une ou l’autre partie du plancher pelvien. Celui-ci étant déjà assez peu présent spontanément dans la perception quotidienne du corps de chacune, les traumatismes de la zone ont tôt fait de la rendre totalement opaque à la sensation et à la compréhension de ce qui s’y passe. Avec un travail adapté, nous pouvons revenir à une sensibilité, une détente, une sécurité et une confiance nouvelles. Bien sûr, je ne propose pas de panacée, mais un travail empirique pour dépasser ces limites, dans espace et un temps sécures où ces problématiques peuvent exister. Voici un aperçu des demandes à ce jour :

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